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citoyenne engagée

31 décembre 2015

2016 : Plus que jamais "Dialogue, Tolérance et Paix"

 

2016-bonne annee a toutes et a tous

 

Gabonaises, Gabonais,
Mes cher-e-s compatriotes,

À l’aune de la nouvelle année 2016, c’est l’occasion pour moi de présenter à chacun d’entre vous, à vos familles et à vos proches, mes meilleurs vœux pour 2016. Ainsi, les moments de réjouissance que vivent certains d’entre nous en cette fin d’année ne doivent pas nous faire oublier ceux parmi les nôtres qui affrontent les épreuves de la maladie, la souffrance ou la perte d'un être cher. Pour eux, j’ai une pensée toute particulière et affectueuse.

Tout le long de l’année, j’ai essayé modestement de partager avec vous mes énervements, mes coups de gueule, mes coups de cœur et mes joies. En retour, j’ai eu droit à vos soutiens, vos critiques, parfois vos incompréhensions, voire vos agacements. Il n’empêche que j’ai été heureuse de partager ces moments avec vous, car "quoi que l'on dise et quoi qu'il  se passe, nous restons avant tout des gabonaises et des gabonais, "un et indivisible".  Un Grand merci à vous toutes et vous tous.

Une fois encore, j’en appelle  au sens des responsabilités de nos politiques de tous bords, s’il vous plait, pour l’intérêt général, faisons des débats politiques un lieu d’échange, de dialogue de tolérance, de paix et de construction.  La Gabon n’a pas besoin de pyromane.
Assez d’un Gabon où les gens vivent "les uns à côté des autres". Vous qui avez nos destinés entre vos mains, faites de votre mieux pour que "nous vivions les uns avec et pour les autres"

 

Gabonaises, Gabonais,
Mes cher-e-s compatriotes,

Un rendez-vous important nous attend en 2016. Il s’agit de l’élection présidentielle. C’est une échéance cruciale. Son bon déroulement dans la transparence et l’équité contribuera à consolider l’irréversibilité de notre choix en faveur de la démocratie.  Pour cela, Il revient dès à présent, à tous les acteurs politiques de faire preuve de retenue, de responsabilité et de dignité.  Le Gabon ne saurait servir de rampe à qui que ce soit au détriment de ses populations pour semer la discorde, la haine et la désolation.

"Quant à nous citoyennes et citoyens gabonais, méfions-nous des discours fanatiques, mensongers et faussement patriotique des groupes coupés du peuple et incapables de satisfaire nos besoins de base. Soyons adultes, il y a trop d’incurie. Il est révolu le temps des cadeaux attrape-nigauds (tee-shirt, casquette, cuisses de poulet, billet de cfa, etc…). L’aumône dédaigneuse qu’on laisse tomber de haut en bas offense celui qui reçoit mais déshonore à coup sûr celui qui donne.  C’est avec ces pratiques viles  que nous nous faisons bernés, arnaqués à chaque élection depuis des décennies et qu’eux, les apparatchiks de tous les camps continuent à se moquer de nous et à se la couler douce. La légitimité ne s’autoproclame pas, elle vient du peuple. "Le temps de la maturité a sonné"

Au nom du Gabon éternel- Préservons-nous des errements anciens, il y a nécessité d'établir sur des bases nouvelles les conditions de la mise en valeur de notre pays et du progrès humain de ses habitants. Il faut en finir avec le "prêt-à-penser". Saisissons-nous de l’opportunité que nous offre la présidentielle 2016, pour exprimer massivement notre choix et indiquer clairement la voie que nous voulons suivre. Nous n’avons pas un pays de rechange, c’est le Gabon ou l’exile à tout jamais".

L’immortel génie gabonais existe, en effet, chaque jour que "DIEU" fait, nous le prouvons en survivant malgré les multiples rejets donc nous sommes des victimes silencieuses, « nous sommes et restons un peuple digne et débout", porté par des initiatives qui hissent, ci et là les hommes et les femmes qui habitent cette terre vers plus de dignité et de fraternité.

Le Gabon, "Notre Gabon éternel" est un pays ouvert à tous, il n’y a ni autarcie ni xénophobie. Cependant, ce n’est pas une terre vierge, elle a ses bases, son histoire, la diversité géographique s’accompagne de la pluralité ethnique et linguistique. Le Gabon, est une mosaïque religieuse, on trouve les catholiques, protestants, animistes et musulmans. Il serait bon que ceux qui décident d’y résider ne salissent pas son nom et respectent les us et coutumes en vigueur. "Ce n’est pas l’invité qui dicte sa loi à celui qui le reçoit de bon cœur"

 

Gabonaises, Gabonais,
Mes cher-e-s compatriotes,

 Je finis ce petit mot en ayant une pensée pour tous ceux qui nous ont quittés comme Bérenger OBAME NTOUTOUME, ce dernier  s’est immolé par le feux et enfin  un soulagement mêlé de tristesse pour notre compatriote le jeune Bruno MBOULOU BEKA, un an après sa disparition, il vient enfin de se voir offrir une sépulture digne de ce nom. Au seuil de cette nouvelle année, je réitère donc à chacune et chacun d’entre vous, mes souhaits de bonne santé, de réussite, la paix dans nos maisons, nos cœurs et dans notre pays

 

 

Bonne année 2016 !
Que Dieu bénisse et protège le Gabon !

 

Anne Marie DWORACZEK-BENDOME

Publié, le 30 décembre 2015

 

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19 décembre 2014

Gabon : le phénomène des enfants sans acte de naissance persiste

 

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20 000 Gabonais sans actes de naissance

D’après une enquête réalisée en 2011, dans plusieurs provinces du Gabon par la Direction générale du bien-être, 11 % de Gabonais, enfants et adultes, n’ont pas d’acte de naissance. Ils sont donc environ 20 000 Gabonais privés de ce document nécessaire pour faire des études, avoir un nom, un pays ou un travail. Une campagne de recensement est en cours pour attribuer un acte de naissance à chaque enfant mais il n’y a pas l’argent nécessaire.

Qui ?

Enfants et adultes sont concernés, en zone urbaines comme en zones rurales, quels exemples    :
- 3 447 enfants sans acte de naissance à Libreville
- 3 166 à Lambaréné au centre du Gabon et le reste à Port-Gentil et les petits villages.

Pourquoi cette situation perdure-t-elle ?

Selon Mme Yolande Bilouka, directrice générale du Bien-être au Gabon, qui a communiqué les résultats de cette étude aux magistrats du Tribunal de 1ère instance de Libreville à l’occasion d’une campagne de sensibilisation pour mettre un terme à cette honte phénomène. Elle cite pèle-mêle :
- Les délais trop courts pour faire une déclaration de naissance (3 jours pour les centres urbains et une semaine dans les zones rurales) ;
- La pauvreté des parents dont certains quittent nuitamment les maternités pour échapper à la facture liée aux frais d’accouchement ;
- La discrimination à l’exemple des femmes pygmées qui sont très mal reçues dans les maternités, l’ignorance des procédures et de délais pour les parents…
- L’administration est aussi pointée du doigt à cause de l’absence des registres,
- Les lourdeurs administratives, le mauvais accueil des usagers dans les centres d’Etat civil, l’absence des timbres et le prix élevé (20 000 FCFA) pour établir un jugement supplétif dans un tribunal,
- La pratique des dessous de table…

Les propositions :
- La gratuité de l’accouchement au Gabon. « Cela permettra aux centres de santé de ne plus confisquer les certificats d’accouchement »,
- Une simplification des procédures administratives s’agissant de la délivrance d’un acte de naissance
- La création d’un guichet unique au sein des maternités. Ce guichet se chargera en toute sécurité de faire les déclarations de naissance auprès des officiers d’Etat civile. Les parents n’auront qu’à apposer leur signature et revenir retirer l’acte de naissance de leur enfant une fois que l’administration aurait accomplir sa mission.

Il y a un manque évident de volonté. On pourrait  enregistrer tous les enfants qui naissent au Gabon, il suffit de le vouloir

Les conséquences pour un enfant ou un adulte sans acte de naissance sont lourdes :
- Il ne peut pas aller à l’école pour un enfant,
- Se faire établir une carte nationale d’identité,
- Perd son droit fondamental à un nom, un lieu de naissance, une nationalité….

Bref l’enfant devient un vulgaire otage apatride pour une situation dont il n’est pas personnellement responsable.

L’urgence sociale est là. Il est  espéré que ceux qui gouvernent ce pays posent des actes et ne s’arrêtent pas aux paroles comme d’habitude.

ANNE MARIE DWORACZEK-BENDOME

Source : http://www.gabonactu.com/2014/10/11-denfants-nont-pas-dactes-de-naissance-au-gabon/

5 février 2014

Gabon : Les zones d'ombre de Daniel Ona Ondo

 

 

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Les cadavres sortent des placards !

Entre soupçons de crime rituel et maintenant de détournement de fonds public à l’UOB, le doute s’installe sur la personne de Daniel Ona Ondo.
Ancien premier vice-président de l'Assemblée, Daniel Ona Ondo a été nommé premier ministre, le 24 janvier dernier. Tout le monde a salué un peu vite cette nomination tout en exprimant une admiration béate pour le nouveau chef de gouvernement. Mais qui est-il ?

Accusé d’être le commanditaire d’un crime rituel  en 1996 sur la personne de feu Ondzigui Assoume, la justice gabonaise n’a jamais daigné poursuivre des investigations sérieuses  sur ce dossier. A présent, on apprend aussi qu’il serait mêlé à une affaire de détournement de fonds publics lorsqu’il était recteur à l’université Omar Bongo, il y a plus de vingt (20) ans de cela.

Ainsi, durant son mandat à la tête de l'UOB, il aurait  été constaté un détournement de plus d’un milliard cinq cent millions francs CFA. Ces détournements se seraient déroulés avec la complicité  d’homme d’affaires libanais très proche de Daniel Ona Ondo. Le processus fort simple était  le suivant : Les Libanais émettaient  de fausses factures de travaux dont la fameuse société de BTP Société Hassan Hejeij bien connue des gabonais pour ses accointances avec les hommes de pouvoir gabonais. Couronnement final : Ni vu ni connu et pas vu pas pris !

Le petit manège se serait arrêté par la suite avec la  nomination d’un nouveau recteur. Son successeur mettra fin à la  magouille avec les faux entrepreneurs qui n’avaient jamais entrepris des travaux. Presque tous les bâtiments à cette époque étaient  dans un état déplorable et aucunes réfections ni  intérieures  ou extérieures constatées durant plusieurs années.

Dans l'opinion publique gabonaise, les crimes rituels et les détournements de fonds publics sont deux maux  en tête de peloton des préoccupations. Chaque jour, sur l'ensemble du territoire national, on dénonce et mobilise sur les conséquences désastreuses qu'ils font subir au pays ainsi qu'aux populations. Et comme par hasard, alors que le chef de l'état parle de "Nouveau Pacte Social Avec Son Peuple", les effluves de crime rituel et de détournements de fonds publics émanent avec insistance autour de la personne du  nouveau premier ministre "Ona Ondo".
Alors sans mettre en doute la volonté du président de la République et sans preuve du contraire, la nomination de Daniel Ona Ondo ne me dit rien qui vaille.

Conclusion : Et si cet homme avait été justement nommé à ce poste parce qu’il maîtrise les pratiques peu flatteuses mais combien indispensables pour composer avec le sommet de l’Etat ?

Alors wait and see

 

AM DWORACZEK-BENDOME

 

Source : http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAJA2531p079-081.xml0/

29 janvier 2014

GABON: aux ambitions sociales d'Ali Bongo, on dit "chiche"

 

GABON-AUX AMBITIONS SOCIALES - ALI BONGO-ON DIT -CHICHE

Alors, fini le pansement sur une jambe de bois!

Concernant les questions sociales, l'heure de vérité aurait-elle enfin sonnée pour la fin des postures, des tergiversations, des simples incantations par le président Ali Bongo et son équipe gouvernementale ?

Le gabonais lambda va-t-il enfin, quatre années (4)  après son accès à la magistrature, être au centre des préoccupations D'Ali Bongo Ondimba?

Après les gouvernements  de Paul Biyoghe Mba, et de Raymond Ndong Sima, c'est autour du nouveau premier ministre gabonais, Daniel Ona Ondo,  de promettre, la  main sur le cœur, monts et merveilles. « On va s'occuper de la population », a-t-il déclaré.
Ali Bongo donnera-t-il enfin une valeur voire un poids  à ses paroles en ce domaine? Qui vivra verra !

La feuille de route du nouveau Premier ministre gabonais, Daniel Ona Ondo  correspond à l'axe 9  du projet de société du candidat à la présidence Ali Bongo Ondimba en 2009 : pour lutter contre les inégalités, la pauvreté et l'exclusion. 

"Vous allez voir ce que vous allez voir!"

La lutte contre la pauvreté va de pair avec la bonne gouvernance. Si exceptés les zélés courtisans,  les Gabonais n’ont pas droit au chapitre, les ambitions sociales d’Ali Bongo risquent fort malheureusement  de n'être qu’une fois de plus que des mots et  du bruit pour rien. La lutte contre les inégalités, c'est l'affaire de tous.  Elle  commence par le président de la République. En un mot, L’exemple doit venir du sommet.

Mr François Hollande, le président français s'était engagé à inverser la courbe du chômage en  2013, un pari perdu  puisque  le chômage a augmenté de 5,7% en 2013.
Ali Bongo à son tour lance lui aussi un  pari aux gabonais : celui de diminuer la pauvreté au Gabon. Il veut  donner une chance aux 10% de gabonais qui n'ont rien et aux  60% autres qui se battent quotidiennement afin de  joindre les deux (2) bouts.
A trois ans du renouvellement de son mandat, le pari semble plus que risquer.  La réalité  oblige à la prudence  sur de telles annonces tonitruantes. Les promesses, on connaît.  On en a pardessus les têtes. Plus de quatre (46 ans)  décennies de litanies sans rien  de concret et que du vent. Cela refroidit  l’enthousiasme. Croire béatement aux déclarations des autorités est devenu un luxe qui n'est pas à la portée des gabonais ordinaires.
On dit "chiche", Président !
 Et si pour débuter ce challenge et frapper les esprits dans  la lutte pour  réduction de la pauvreté, vous reportiez "le "New York-forum 2014" ?
Cet Evènement qui  une vraie saignée dans les comptes publiques du pays. Son coût annuel  est estimé à 7 millions d'euros par an, soit  5 milliards de Francs CFA. Que la somme dévolue à ce raout médiatique serve à satisfaire les besoins de bases des populations, à l'instar de toutes ces de routes dans les régions impraticables en saisons des pluies, les réfections d'écoles, créations de latrines, des coins d'eaux, achat de matériel scolaire, agricoles, mise en place « un fonds d'aides aux jeunes » en grande précarité à l’exemple en France du « Fonds d'aide aux jeunes (FAJ) destinés à favoriser l'insertion sociale et professionnelle des 18-25 ans en leur apportant des secours.. Ce serait un signe comme un tocsin démontrant tout l’intérêt que revêtirait cette cause pour lui.

Indice Gini des Nations-Unis


Ce qui parle encore plus de la situation des Gabonais, c'est l’indice qui  permet de  mesurer les inégalités de richesse au sein d'une société, sur une échelle de 0 à 1 :
- plus il est proche de zéro (0) et plus la société est égalitaire, 
-
 dans le sens contraire, plus il se rapproche de 1, plus la société est inégalitaire.
-
 
et Au-dessus de 0,4,  on considère que la cote d'alerte est franchie et qu'il y a des risques de troubles sociaux.
Dans le PLAN CADRE DES NATIONS UNIES POUR L’AIDE AU DÉVELOPPEMENT DU GABON  UNDAF (2012-2016), publié en Juin 2011, l'indice humain du Gabon était estimé
à : 0, 415. Pour ces experts :
Conclusion des experts, page 5 :  "cette situation existerait à cause  d'une forte inégalité de répartition de la richesse nationale. En effet, 90% du revenu national est détenu par les non-pauvres.  De telles inégalités diminuent considérablement  l'effet positif de la croissance économique sur la réduction de la pauvreté et inhibent les effets déployés pour la réalisation des objectifs du millénaire pour le développement (OMD) »

-
 Deux (2 ) ans après,  l'indice de développement humain du  Gabon n'a pas chuté, il n'y a pas eu eu inversement de la courbe mais à plus tôt augmentation pour être aujourd'hui à : 0, 674
Allocution de Son Excellence, Ali BONGO ONDIMBA , Président de la République Gabonaise, Chef de l’Etat,  Discours  "Pour un Nouveau Contrat Social" , Libreville, le 29 janvier 2014 :
"j’ai commandé en octobre 2013, un rapport sur l’état de la pauvreté de notre pays.qui nous a été présenté, jette une lumière crue et met en évidence une cartographie et une description précise sur l’étendue de ce phénomène au Gabon.
Malgré les efforts déployés et les différentes aides et subventions accordées à la lutte contre l’exclusion sociale, les données de cette enquête qui décrivent une situation alarmante nous conduisent à affronter avec courage et détermination la réalité sociale de notre pays.
Nous ne devons rien cacher. Il est désormais établi :
•Qu’environ 30% de la population est considérée comme économiquement faible, correspondant à 95.000 foyers vivants avec de très faibles revenus mensuels.
• Que près de 55% des foyers économiquement faibles vivent dans les grande s agglomérations et 45% en milieu rural ;
• Que 60% des départements sont en décrochage en termes d’accès aux minimas sociaux de base, pour ce quirelève de l’accès à la santé, l’eau potable et l’électricité, dans des conditions d’habitat précaires et enclavés.

Nous ne pouvons pas accepter que la pauvreté, la précarité et l’exclusion sociale prennent racine dans notre société.
Il est par conséquent inadmissible, comme je l’ai rappelé lors de mon discours des voeux à la Nation, le 31 décembre dernier, que seulement 20% des 300 milliards d’inscriptions budgétaires réservés aux différentes aides sociales arrivent à destination des populations les plus démunies"

Pour ma part, je souhaite sincèrement que ce pari soit réussi tant pour les populations qui souffrent douloureusement de ce gouffre mais également pour  le pays, alors espérons que ce ne soit pas encore de l’esbroufe, des paroles en l'air une fois de plus.

 

AM DWORACZEK-BENDOME

 

Extrait de la présidence de la république Gabonaise

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Libreville, le 28 janvier 2014. Le président Ali Bongo Ondimba décide d’accélérer la transformation du pays au bénéfice prioritaire des Gabonais les plus nécessiteux.

Instruit de travailler dans une optique de résultats, le nouveau gouvernement conduit par le professeur Daniel Ona Ondo inscrira son action dans le plein respect des principes de gouvernance et de compétence. Le Chef de l’État, conscient des urgences sociales et des attentes des populations, demande au Premier ministre d’impulser et de coordonner l’action de tous les départements ministériels autour d’ambitions et de priorités sociales.

Ce gouvernement est ainsi celui des « ambitions sociales », fortes, clairement identifiées, tournées vers l’action efficace.

Le nouveau gouvernement devra accélérer les chantiers nécessaires pour obtenir des résultats palpables et concrets, en veillant particulièrement au respect des principes suivants :
Une nouvelle gouvernance privilégiant la compétence, le mérite, l’intérêt général et le respect de la chose publique.
- Une diligence accrue et une meilleure qualité de la dépense publique.
- La poursuite des chantiers prioritaires déjà prévus et bénéficiant de financements, dont la mise en œuvre doit être effective.
- La participation active de chaque ministère à l’exercice de planification stratégique et de programmation des activités du Gouvernement, conformément au plan d’action détaillé pour l’émergence pour la période 2014-2016.

Cette démarche de collaboration, d’écoute, de réactivité, de proximité et de pragmatisme doit accroître la visibilité et la cohérence des actions menées par le Gouvernement et donner une impulsion nouvelle à l’action publique.

L’efficacité de la mise en œuvre de cette action et leurs résultats feront l’objet d’évaluations périodiques.

FIN

Source : Présidence Gabonaise

AVENIR EN CONFIANCE-16

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L'indice humain du Gabon : http://www.statistiques-mondiales.com/gabon.htm

Discours sur la pauvreté au gabon en 2014 : La pauvreté au gabon en 2014

 

A.M DWORACZEK-BENDOME

23 janvier 2014

GARANTIE BANCAIRE D’ETAT DE 6 MILLIONS D’EUROS "AFFAIRE JULIEN NKOGHE BEKALE/ALI BONGO"

Un simple quiproquo ou une intention manifeste d'entuber le président de la république?

En tout état de cause, la non présentation du document ayant entraîné l'annulation pure et simple du dossier ne vient pas de la société Hélios Holding. Puisque ci-dessous dans les échanges  entre  hélios Holding et le cabinet du ministre, il est clairement  fait mention d'une garantie bancaire. Alors, pour quelles obscures raisons, Mr. JULIEN NKOGHE BEKALE a t-il  omis d'expliquer à son président et à ses collègues ministres que le  dossier "HÉLIOS Holding" concernant l'importation, la commercialisation et la culture de riz au Gabon incluait  l'émission d'une "GARANTIE BANCAIRE DE L'ETAT GABONAIS", d'au moins 6 MILLIONS EUROS"

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Les affaires Gabonaises sous l’Émergence

Qui est Julien Nkoghé Békalé :  Ami personnel d’Ali Bongo Ondimba, Ministre gabonais de l’agriculture, Député, ex- Ministre des mines, du pétrole et des hydrocarbures, a occupé de très hautes fonctions au sein de la magistrature. Il est le protégé  de Mr Paul Biyoghé Mba, ancien 1er ministre d’Ali bongo et actuel président du Conseil Economique et Social. il est par ailleurs grand maître de la Grande Loge Savorgnan de Brazza du Gabon, loge dans laquelle on peut y trouver notamment Léon-Paul Ngoulakia, cousin germain du Chef de l'Etat

 Amateurisme ou incompétence notoire?

On marche véritablement sur la tête ! - Sérieusement, comment un président de la république peut-il  donner son accord et au dernier moment, changer soudainement d'avis et tout  annuler. Une belle prouesse qui semble devenir  une habitude chez  le  "très éclairé" président Ali Bongo Ondimba. "affaire Hélios Holding" après l'affaire  "CODER",  confirme une fois de plus que malgré les airs supérieurs que prennent le chef de l'état et certains de ses ministres, etc... Tout ce beau monde  va de bourdes en bourdes, combien de dossiers ont  été signés et annulés ensuite  par le président  de la république depuis, le 16 octobre 2009?

"HÉLIOS HOLDING & LE "RIZ POUR TOUS" 

Tout a commencé au Gabon en Janvier 2013, la société hélios holding qui souhaite travailler avec le  Gabon rentre en contact avec un certain Monsieur Christian DIKOR, d'origine Camerounaise, un homme considéré comme sérieux ,  ex-cadre dirigeant de la Caisse des dépôts en France et aujourd’hui promoteur d’un projet de formation à destination d’agriculteurs au Gabon. le dossier se présente en deux (2) volets :
Premier volet :  importation et commercialisation  de riz Vietnamien  sur l'ensemble du territoire Gabonais par Hélios Holding et ce, à un prix défiant toute concurrence de 500 FCFA/le kilogramme du Nord au Sud, de l'Est à L’ouest et au Centre.
Deuxièmement volet  : développement de  la production de riz au Gabon et toujours  par la société hélios Holding directement.

On  notera au passage qu'une société qui n'aucun historique en matière agricole s'est vu accorder 4000 hectares sans difficulté.  

Les représentants d'Hélios Holding viendront même au Gabon et discuterons avec le ministre et  Monsieur Christian DIKOR. En date du 8 février 2013, le Ministre Julien Nkoghé Békalé adressait une correspondance à en tête de son ministère dans laquelle,  il confirmait à la société tout  l’intérêt qu'il portait à ce dossier et qu'il était suivi également  par la Président de la république Gabonaise lui-même 

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Quelques échanges entre Hélios Holding, Julien Nkoghé Békalé & l'ACCOPA :
- Le mercredi 7 juillet 2013, Monsieur Chris Mombo Nzatsi, DG de l’Accopa reçoit dans son bureau, les responsables de la société Française et  Christian Dikor  en présence de son Directeur Adjoint. Au cours de ce premier rendez-vous, le DG  explique qu’il n’entrait pas dans ses compétences d’acheter des produits agricoles en provenance de l’étranger et qu’il lui fallait obtenir l’accord de son ministre de tutelle. Il s’ engage à produire une note dans ce sens au ministre de l’agriculture le jour même, afin de profiter de leurs présences à Libreville et aboutir à la signature finale des contrats.

- En Aôut 2013, le cabinet du Ministre de l’Agriculture informe la société française qu’un projet de décret était en préparation pour donner à l’agence les moyens financiers lui permettant de fournir les garanties bancaires indispensables. -

Fin Aout 2013, oralement, le cabinet du Ministre de l’Agriculture informe la société française que lors de la première réunion du conseil d’administration de l’Accopa prévu fin octobre,  le projet Hélios Holding sera  présenté pour approbation. Mais du coté de L'ACCOPA, le dossier "Hélios Holding" paraissait de moins en moins clair à cause de la  garantie bancaire qui semblait sortir comme un lapin d'un chapeau de magicien. 

Le grain de sable!

Mr. Chris Mombo Nzatsi décide alors de son propre chef de faire d'effectuer une enquête sur la société française.
Conclusion :  un manque de sérieux chez d’Hélios Holding mais surtout une incapacité pour cette dernière d'assumer financièrement une telle opération. Pris de peur, Chris Mombo Nzatsi informera le cabinet du chef l'état et lors de la présentation du projet, il se montrera très critique. Au final, le président retira son aval au dossier.
Début novembre 2013, La société "Hélios holding" contacte les autorités gabonaises et c'est à ce moment qu'on leur explique en fait que le chef de l'état a fait annulé l'accord. Vive le professionnalisme au sommet de l'Etat ! 

Questions:
- le Ministre Julien Nkoghé Békalé qui était au courant de la clause impliquant la garantie, pourquoi  l'a t-il caché au chef de l'état  et à son cabinet?
- Monsieur Chris Mombo Nzatsi a t-il agit par patriotisme ou fait du zèle parce qu'il ne croquait pas?
- Pourquoi le président  de la république et son cabinet n'ont pas fait d’enquête eux avant de donner l'accord à ce dossier?
- Délit d'initié, est-il permis  à un ministre de la république de fournir des informations classées confidentielles d'un conseil de ministre ou du chef de l'état à une société privée ?

- Est-ce une habitude au sein du gouvernement gabonais que les ministres  donnent des dossiers incomplets ou encore y extirpent tel ou tel document?
- Quel intérêt personnel avait Julien Nkoghé Békalé sur dossier?
- à l’approche de 2016, le ministre voyait-il en ce dossier une occasion de se constituer un fonds pour la future échéance ?
- Concernant les 4000 hectares de terre gabonaise si complaisamment donner à la société Hélios holding, le décision d'annulation s'applique t-elle aussi à ce volet?

La "GABONOPHOBIE"Une chose me sidère également, c'est la facilité d'accès qu'ont les non nationaux d’atterrir  directement au cabinet personnel du Chef de l'état et à ceux de ses  Ministres. Un  gabonais de souche même sérieux et compétent avec un dossier solide en main, lui se verra refouler manu-militari s'il tente de s'approcher ces derniers.

Elle est belle l’émergence surtout quand ce sont ceux qui prennent part (le gouvernement, administrations) et qui sont censés protéger les intérêts du pays qui essaient  de carotter le chef de l'Etat.  


ANNE MARIE DWORACZEK-BENDOME

• Lettre de confirmation du Ministre : Accord Ministre agriculture Gabon

• Le calendrier  prévisionnel des importations de riz demandé par l'Accopa : Calendrier •

ACCOPA : Gabon-annonce officielle accopa •

Coder : gabon-resiliation contrat-Mines

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17 janvier 2014

GABON, CLAUDE-MICHEL SEZALORY, l'EX-COMPAGNON DE SYLVIA BONGO MAIRE DE LA COMMUNE D’AKANDA

 

GABON,-CLAUDE-MICHEL-SEZALORY,-l'EX-COMPAGNON-DE-SYLVIA-BONGO-MAIRE-DE-LA-COMMUNE-D’AKANDA

Nomination partisane

Un "vaudeville" à la Gabonaise. Il était une fois l'ex-compagnon, l'époux et la femme de ce dernier, voici en quels mots le bel attelage dont a hérité la commune d'Akanda , située au Nord de Libreville au Gabon en la personne de son nouveau "Maire", Monsieur Claude Michel Sezalory.

Intéressons-nous à ce dernier afin de mieux le connaitre.

Il y a d'abord le piège tendu à tous les gabonais ! - Grâce au pouvoir que lui confère sa fonction de président de la république, Ali Bongo avait déjà tenté d'imposer par la force quelques uns de ses partisans gabonais de fraîche date en politique. Mais à cause des vives réactions de simples citoyens mais également de plusieurs personnalités politiques de hauts rangs, il avait reculé. Cette fois, il a joué plus finement et la nomination de Monsieur Claude Michel Sezalory au lieu d'être est un handicap pour lui, elle été perçue par la presse étrangère comme un signe de modernité.
Certains diraient pourquoi a t-il voulu absolument enrober l’arrivée de ce monsieur par ce subterfuge, manœuvre de diversion d’Élection-nomination?
Certains se rappellent encore qu'au soir de la proclamation des élections présidentielles d'Août 2009,  certains français qui virevoltent au cœur du pouvoir étaient  allés féliciter Mr Edouard Valentin, en l'appelant "Président".

Petit arrangement entre copains ayant en commun une femme !

Claude Michel Sezalory, un simple français qui a grandit et vécu depuis toujours au Gabon et qui veut rendre ce qu'il a reçu.  Mon œil !  Et le clou du spectacle, que dis-je ! - L'apothéose finale est venue avec  la profession de foi du nouvel édile d’Akanda : "J’ai beaucoup investi et aujourd’hui je voudrais rendre à ce pays ce qu’il m’a donné".

La réalité est aux antipodes  du descriptif qu'a fait de lui la presse du pouvoir. Claude Michel Sezalory n'est qu'un sangsue de plus qui vit et s'enrichit de la souffrance des gabonais comme la clique qui l'a fait "Prince-consort" de la république Gabonaise.

Claude Michel Sezalory n' est pas un novice,  il est présent dans les coulisses du pouvoir Gabonais depuis fort longtemps. Un profiteur qui fait des affaires avec d'autres parasites et au final,  c'est toujours les mêmes qui payent l'addition à tous les coups. La comédie d'Ali Bongo n'abuse plus personne, Il s'est construit autour lui un petit groupuscule qui se croit investi de faire du Gabon leur "chose". Certes son visage était inconnu du grand public, il est cependant un intime du couple présidentiel Gabonais. A-t-on voulu sciemment rouler les médias dans la farine ? la réponse est "oui"Ce type n’a rien d'un simple français encore moins d'un gabonais lambda.

Claude Michel Sezalory et La nationalité gabonaise :  Le défunt président Léon Mba, lors de la  proclame l' indépendance du pays, le 17 août 1960, avait invité tous les français présents dans le pays  à prendre la nationalité de la jeune nation. De cette offre, 99% des français avaient dit "Non" - On se pose les questions suivantes :
1) Les parents du petit Mr. Claude Michel Sezalory ont-ils choisi la nationalité gabonaise en 1960?
2) l'homme nommé Claude Michel Sezalory, depuis quand est-il gabonais ?
3) Est-ce comme l’affirment et dénoncent certains patriotes gabonais , qu'il ne serait devenu Gabonais qu'en septembre 2013 ?

Claude Michel Sezalory comme Sylvia bongo Ondimba ont fait et font encore fortune avec les terres que l'état gabonais retire aux gabonais ordinaires pour leur fourguer à eux et souvent sans aucune contrepartie.  Si en Corse, berceau de la famille Sezalory, la terre est très importante et on y mène d’ailleurs une lutte contre la spéculation immobilière , au Gabon c'est une autre histoire, la terre gabonaise appartient en priorité  à la large famille "Bongo Ondimba" mais aussi à des personnes comme Claude Michel Sezalory qui servent souvent de paravents, d'associés, de complices et au passage ne manquent pas de se remplir les poches. En 2050, d'après la géo-population, le Gabon comptera  3 221 749. L'état a donc l'obligation d'agrandir la capitale en allant vers l'intérieur des terres. Dans cette perspective,  quoi de  mieux que  ce type d' auxiliaire pour  aider ceux qui voient le Gabon comme un"gâteau" à se gaver une fois de plus.

 régime des amis

On s'en fout des promesses de Claude Michel Sezalory pour la commune d’Akanda. En effet, après Ali Bongo Ondimba et son projet de société dont le train est toujours en gare 4 ans après, les sornettes de Monsieur Claude Michel Sezalory n'engagement que ceux qui veulent bien croire à un miracle.

Le  pouvoir discrétionnaire du Grand camarade

Dissocier vie publique et vie privée n'est pas chose aisée chez Ali Bongo Ondimba, les parents, les amis, tout se mélange. Nous avons ici une nouvelle preuve flagrante du décalage entre les paroles et les actes.  Ali Bongo Ondimba et son équipe de communication ont menti aux gabonais et au monde. La seule chose positive  au demeurant  dans le traitement de ce dossier, c'est traitement envers  l'ex-compagnon. Au lieu de  suivre l’exemple de son défunt père  Omar Bongo, qui avait porté atteinte à la vie des "Ex" de Nkama Marie Joséphine,   lui préfère  offrir une place au soleil à ce dernier.

 

A.M DWORACZEK-BENDOME

31 décembre 2013

ANNE MARIE DWORACZEK-BENDOME, Mes meilleurs vœux pour 2014

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Mes meilleurs vœux à toutes et à tous !

Le passage vers une nouvelle année est souvent le moment où les bilans et les espérances se bousculent, s’entrechoquent et viennent frayer leur passage dans nos têtes esquissant ainsi , le temps d’une émotion en nous, un sourire ou une larme.
Quel que soit le bilan que vous feriez de ces 12 mois passés, une chose compte, vous êtes encore-là. Tant qu'il y a de la vie, il y a de l’espoir.
Pour nos familles, nos proches, notre pays, nous nous devons de continuer à semer des graines qui germeront un jour avec ou sans nous.

Soyons adultes et responsables, tout le monde ne peut pas devenir président de la république mais individuellement, quel que soit notre place au sein de la société, nous avons l’obligation de participer à la bonne marche du pays et si nous constatons malheureusement une déficience, nous avons le devoir morale d’apporter une solution. Il n’y a pas de petits ou grands efforts ou participations, tout s’additionne et se complète. Le choix  du moyen à utiliser revient librement à chacun. Un changement en profondeur d’une société ne passe pas forcement par le choix des armes et autres violences. La détermination d’hommes et de femmes sera toujours plus forte qu’une armée au service d’un homme, d’un clan, d’une région ou d’une famille.
Le partage, la confiance, les échanges, la compréhension mutuelle sont des valeurs que nous nous devons tous de cultiver. Pour ma part, ils resteront une fois de plus au centre de mes espérances.

Comme un ermite dans le désert, je continuerai à exhorter ceux qui détiennent la pouvoir et les richesses à  mieux les  repartir  entre tous les enfants du pays. Le  mépris ou le dédain des intouchables m'importe, aucune arme n’atteint celui ou celle qui a la conviction de combattre pour une cause juste.
Avec clarté et détermination, je maintiens les choses suivantes :
- La confiscation, la spoliation des biens par une minorité : ce n’est pas juste ;
- Les crimes rituels contre des enfants, des femmes, des personnes âgées : ce n’est pas juste ;
- Une justice à la solde des puissants : ce n'est pas juste;
- Tenir en laisse tout un pays en utilisant les moyens les plus ignobles comme la promotion par l’arbitraire ou par la soumission : ce n’est pas juste ;
- Placé l’argent au-dessus de toute chose jusqu'en faire l'alpha et l'oméga : ce n'est pas juste;
- La réussite pour le poltron, le plus couard, le plus abject, le caniveau ou la misère pour l'intègre : ce n'est pas juste;
- Utiliser des stratagème pas très recommandable pour pousser les populations à s’entre-déchirer afin de bénéficier de quelques miettes : ce n'est pas juste;
- Faire des gens une variable d’ajustement : ce n’est pas juste ;
Tout ce qui concoure à  assujettir, à avilir et ainsi  qu'à dénier  toute dignité aux autres :  ce n’est pas juste;
Et pourtant, ce sont ces mécanismes qui gouvernent, régissent et régulent l’ensemble du fonctionnement du Gabon tout entier.
- Qu’on ne le veuille ou pas, nous y sommes tous soumis : ce n’est pas juste.
Naïve ou pas, j'y crois fermement.

Je souhaite que nous agissions tout au long de l'année 2014, avec  un esprit un peu plus solidaire, tous confondus car les aventures solitaires ont tous menés à l'échec jusqu'à ce jour. Dans la grande diversité des ethnies qui forme notre Nation, œuvrons ensemble à construire un pays meilleur.

A chacune et chacun, très sincèrement, tous mes vœux de succès et de bonheurs.

Une de vos compatriotes,

Anne Marie Dworaczek-bendome.

28 décembre 2013

FOSSOYEURS, PLACE AUX HERITIERS, MADELEINE BERRE SUCCEDE A HENRI-CLAUDE OYIMA

 

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"La fifille  à Maman Rose"

Mais pouvait il en être autrement dans ce cercle très fermé des intouchables de la république qu’est la Confédération Patronale Gabonaise (CPG). Club pour colon à sa création, il s’est peu à peu ouvert aux couleurs moins pales mais pas n’importe lesquelles n’ont plus. Y sont admis que des symboles  synonymes de  puissance financière et politique, ceux  qui comptent dans le pays et/ou d’illustres proches dans leurs familles.

On prend les mêmes et on recommence !

Après les parents et autres parentés viennent les héritiers. Ce chassé-croisé permet aujourd’hui  l’arrivée de Madame Madeleine Berre, fille de la  présidente du SÉNAT GABONAIS, Rose Francine Rogombé, à la présidence de la Confédération patronale gabonaise (CPG). En  remplacement de Mr Henri-Claude Oyima (2003-2013), lui aussi "parent de"
Echange de bon procédéon est tous habitués désormais à ces tours de passe-passe entre ces illustres membres de la nomenclature gabonaise. Le petit neveu d’Omar Bongo, Monsieur Mr Henri-Claude Oyima cède le fauteuil  à la fille de la présidente du sénat.

Qui est Madame Madeleine Berre ?

Côté expérience, des persifleurs ! rappellent que cette Madeleine ROGOMBE BERRE n’a ni créée une entreprise, encore moins en a avoir dirigée. Ses  faits d'arme se bornent à l’activité de Conseil juridique et fiscal au cabinet Deloitte, la responsabilité d’une commission au Patronat Gabonais et sa participation en tant que membre de la Commission nationale de l’OHADA (Organisation pour l’harmonisation en Afrique du droit des affaires) et présidente de l’Association Ohada-Gabon. Conclusion, en dehors du petit monde Gabono-Gabonais, ça fait quand même un peu léger.
Bon, on est au Gabon, être fils ou fille de... Ça fait de vous un être doté de l'omniscience.

Renvoi d’ascenseur à la dame de Lambarené !

C'est plus certain, même si le gabonais est doté d'une mémoire de deux jours, on se rappelle encore, comment à la mort d’Omar Bongo en juin 2009, dame Rose-Francine Rogombé, la grande Dame de Lambaréné, président par 'intérim se fourvoya totalement dans cette fonction, aidant ouvertement Ali Bongo par rapport à d'autres candidats. Devenu président, une petite récompense comme la tête du Confédération Patronale gabonaise (CPG) en rapport à ce qu'Ali Bongo Ondimba en retire depuis le 16 octobre 2009, ce n'est pas grand chose, c'est cacahuète.

 

ANNE MARIE DWORACZEK-BENDOME

Montage : RD©

23 décembre 2013

LE GABON A LA TETE DU (CDH), GRACE A MR BAUDELAIRE NDONG ELLA

 

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Baudelaire NDONG ELLA

Si ça pavoise au Gabon depuis la désignation du pays à la tête du Conseil des Droits de l'Homme (CDH), basé à Genève en Suisse, à tout seigneur, tout honneur, le mérite de cette nomination revient en premier lieu au travail remarquable de Son excellence Baudelaire NDONG ELLA. Malgré les tentatives maladroites de certains d’essayer de faire capoter cette nomination par des manœuvres dilatoires, le résultat a été un succès sur toute la ligne pour le Gabon.

Mr. Baudelaire NDONG ELLA fait partie de cette nouvelle trempe de diplomates gabonais, rompus aux échanges avec leurs autres homologues, ils s’exposent des faits et ne ressentent aucun sentiment d’infériorité par rapport à ces derniers. Cette modernité est un plus dans un monde où la communication et sa maîtrise sont incontournables. Mais une fois saluée  cette reconnaissance du Gabon au plus haut niveau international, que va gagner le pays en termes de respect de droits humains ? Car ce ne sont pas les dossiers qui manquent dans le pays mais ce serait plutôt le déficit de justice qui serait chronique!

Les dossiers les plus brulants et qui parlent à tous : Crimes rituels et crimes économiques

En premier, les crimes rituels qui salissent l’image du Gabon dans le monde. Sont classés ou soupçonnés d’être un crime rituel, le fait que l’on prélève sur les morts différents organes afin de les utiliser à des fins de fétichisme. En effet, en dehors de la  comédie de l’épouse du président, Madame Sylvia Valentin Bongo et de son associé, Monsieur Jean Elvis Ebang Ondo,  président de l'Association de lutte contre les crimes rituels (ALCR) au Gabon qui s’est soldée par une marche dans les rues de Libreville, le gabonais ordinaire ne voit aucun changement. A quand une unité spéciale chargée d’élucidée ces crimes de sang et d’apporter des réponses que les citoyens lambdas se posent à chacune de ces abominations.

L’autre dossier concerne la plaie des crimes économiques (corruptions et autres détournement) dont la progression exponentielle ne se dément pas année après année. Causant ainsi un mal certain dont les populations de tout le pays du Nord au Sud et de l'Est à l' Ouest ainsi qu'au Centre paient  chaque jour que Dieu fait le lourd tribut qui se traduit dans les faits par un manque flagrant de développements tant sur le plan des infrastructures, que du reste. A cause de ce mal, le pays prend un retard conséquent et ce n’est pas prêt de s’arrêter. D’ailleurs le chef de l’état et son escouade ne sont pas étranger à ce mécanisme, il semblerait même que ces derniers, ont fait monté d’un cran ce processus de prise illégal d’intérêt.

Le Gabon est pourtant doté d’une Commission Nationale de Lutte Contre l’Enrichissement Illicite (CNLCEI), mais cette dernière pour le moment n’a brillé que pour son inutilité, son immobilisme, elle n’a été ni profitable au Gabon, ni aux Gabonais. Certaines mauvaises langues disent au sujet de la CNLCEI que quand "le ver est dans la pomme", on ne peut rien espérer de bon ! - conclusion, on attend rien de ce machin truc chose.

En année qui s’achève et puisque le Gabon se trouve désormais à la tête du Conseil des Droits de l'Homme (CDH), on espère, orgueil oblige, que le chef de l’état gabonais, Monsieur Ali Bongo Ondimba apportera des réponses sur ces deux questions entre autre.

Anne Marie DWORACZEK-BENDOME

Montage : RD ©

http://www.dworaczek-bendome.org/le-gabon-a-la-tete-du-cdh-grace-a-mr-baudelaire-ndong-ella/

26 novembre 2013

PAULETTE‎ PELLEGRIN OYANE ONDO, AVOCAT A LA COUR, EN LEVRETTE, EN BROUETTE, ETC…

 

PAULETTE‎ PELLEGRIN OYANE ONDO, AVOCAT A LA COUR, EN LEVRETTE, EN BROUETTE, ETC…‏

Humble et fière de l’être

Devant la condescendance d'une ancienne soubrette de la république, doit-on avoir honte de n’être qu’une citoyenne lambda ? Une simple personne parmi les 70% de non nantis gabonais qui n’ont pas voix au chapitre ? Ceux pour qui les personnes comme Madame PELLEGRIN  OYANE ONDO décident ce qui est bien ou mal ?
A en croire le mépris  dont j’ai eu droit, le vendredi 23 novembre 2013, suite à un  échange musclé sur Facebook, la réponse est sans appel : "OUI ".

Si on n’appartient pas à leur petit cercle de parvenu, on doit dire "amen" et la boucler.
Si la défense  d'un certain idéal républicain au Gabon oblige chacun à taire, voire à ignorer les errances passées des figures de proue de l'activisme politique ou société civile pour uniquement se consacrer à une cause qui va bien au-delà, à mettre un peu d’eau dans son vin face à la régression sans précédent que subit le Gabon et ses populations du point de vue social, politique, libre expression, etc... Il ne faut pas charrier et prendre les autres pour des  cons. Même depuis l’avènement d'Ali Bongo Ondimba, le Gabon reste petit et les parcours des uns et autres sont très bien connus du plus grand nombre.

Selon que vous êtes puissant ou misérable...

Il ne suffit pas pour abuser les gens, d’arborer  une coupe de cheveux  à l’Angela Davis et éructer de toutes parts pour dénoncer le régime en place...  Que l'on adresse cependant dans le même temps du courrier en catimini (opposante par défaut),  pour croire que l’on est soit même exempte de toute reproche de la part des gabonais.
Il ne suffit  pas de faire des raccourcis ou rapprochements grotesques entre sa propre histoire réinventée de toute pièce  et celle d’une femme méritante comme Michelle Robinson, l’Américaine, épouse  Barack Obama,  qui contrairement à Mme PELLEGRIN  OYANE ONDO a bataillée toute sa vie, étudiée à l’université de Princeton et à la faculté de droit d’Harvard en bénéficiant de bourses et en travaillant vaillamment pour croire que l’on prend son tarabiscotage  pour argent comptant.
La  désormais incarnation vivante de  la défense des droits de l’homme au Gabon, celle qui a su avec une habilité extraordinaire manœuvrer tactiquement avec l’arme redoutable qui est son corps afin d’accéder à la place qu’elle  occupe aujourd’hui, celle de la «  Petite histoire Gabonaise (vue par un bout de la lorgnette d'une chambre à coucher); croit qu’elle peut rabrouer des gens comme cela lui chante.
La dédaigneuse courtisane devenu manitou par les grâces des différents princes qui ont jalonnés sa vie et qui ont été des marchepieds chacun à son niveau pour son ascension sociale fulgurante, elle croit faussement que ses nouveaux oripeaux  droits de l’homme :
• Présidente du CDDH-Gabon
• Prix des droits de l'Homme pour l'Afrique centrale

seront la clé  qui la permettra à nouveau d’aller se vautrer dans un ministère de la république et jouer sa diva ?

Le moindre son de cloche qui ne va pas dans le sens qu’elle estime favorable à ses intérêts balayer aussitôt d’un revers de main par elle ou son escouade. Encore les droits de l’homme revu et corriger, sauce « Gabon ».

L’accession sociale par le lit

Sortez de votre belle bulle, Dame PELLEGRIN  OYANE ONDO, on vous connait, vous n’êtes nullement un exemple pour la jeune fille ou la femme gabonaise. Depuis quand  est-ce que la « promotion canapé » est un exemple à suivre à tout prix ? Dans quel pays au monde enseigne-t-on à la gente féminine que pour réussir professionnellement, il faut coucher ? Mesdemoiselles, mesdames, servez-vous de vos charmes  sur ces messieurs ? 

Alors malgré l’arrogance et la suffisance, très chère  Maître Paulette OYANE-ONDO,  votre parcours n’est pas des plus reluisants :
-        Ex-élève du professeur PELLEGRIN  à l’université Omar Bongo du Gabon, puis maitresse et pour finir ex-épouse de ce même Maître PELLEGRIN ;
-        Ex-maîtresse de Christian Bongo Ondimba, qui est aussi  le fils de son père, le président défunt président du Gabon ;
-        Ex-Ministre et aussi maîtresse du même  d’Omar Bongo Ondimba himself; 
-        Et pour finir, Ex-députée du Parti Démocratique Gabonais sous Omar Bongo Ondimba et d’Ali Bongo Ondimba avant de partir avec arme et fracas en 2011, s’en est suivie une sordide histoire d’argent de 52,5 millions de francs CFA.

Gabon maison de verre, tout se sait !

Celle qui batifolait dans la luxure en 2007 , pendant Mr Marc Ona et les autres membres de la société civile bataillaient contre le  contrat léonin du Fer de Belinga. Le  gigantesque projet d'exploitation du minerai de fer de Bélinga, dans le nord-est du Gabon.
Comment cette dame entretenue peut  affirmer mordicus maintenant que ce dernier veut exister à ses dépens ? Qu’il essaie de surfer sur sa notoriété à elle !!

Oh, descendez sur terre un peu, il faut atterrir... Ça devient grave.

Il faut être experte dans l'art de rouler son monde (Edmond, Meboon, Modeste et surtout Fortune Le Mondologue) pour leur faire écrire des diatribes et ce, sans rétribution sauf promesse qu'une fois qu'elle serait nommer par ALI BONGO ONDIMBA, ces petits veinards viendraient pantoufler auprès d’elle. Même ses communications dans les séminaires, ce sont d'autres personnes qui font le travail à sa place.

Qui fait le buzz sur le dos de qui ?

OMAR BONGO ONDIMBA est fort, plus de 4 ans après sa mort, son-ex maitresse s’en prend à son ex- épouse Patience Dabany, la mère du Président du Gabon en l’accusant  de fomenter des projets assassinats contre des journalistes, et ce sans aucune preuve qui vienne corroborer ces affirmations. Ces déclarations tapageuses n’avaient telles pas pour but de faire parler d’elle  tout simplement? –

Au fait, hier, 25 novembre 2013, curieusement, sauf erreur de ma part, il n'y a rien sur la page facebook CDDH-GABON, concernant "la journée internationale de la lutte contre les violences faites aux femmes".
Si dame PELLEGRIN  OYANE ONDO , celle qui rêve toujours de gloriole était vraiment l'auteur des publications passées, comment se fait-il qu'on ne lise  plus rien du "CDDH-GABON" qui ne manquait pas une occasion de publier une tribune pour célébrer telle ou telle journée de l'ONU depuis que Fortune, Meboon et Edmond ont zappés la mégère  de la République, c'est le vide sidéral.  On plaint d’avance  le futur bougre sur qui dame PAULETTE‎ PELLEGRIN  OYANE ONDO  jettera très prochainement son dévolu pour se servir comme échelle une fois de plus…

 

Succube !

 

AM DWORACZEK-BENDOME

Montage : RD ©

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